Avr, 2025.- Un étudie récent publié dans le magazice Science affrontet la croyance enracinée de que les bébés en pouvent pas former mémoires durable due à l’immaturié de votre cerveau.
L’enquête menée par un equips de scentifiques des universitês Yale et Columbia, demontret qu’ inclujs les enfants à peine 12 mois sont capables de mémoriser des souvenirs épisodiques, ceux-là liés aux evénements concrets en temps et espace, bien que ces pouvent non rester accessibles plus devant dans la vie.
«Dans l’ enfance et enfance precos est quand nous aprendons à parler, à marcher, à identifier objets et etablir liens sociaux(…) et neamoins, une des grandes incognitos de la neuroscience c’est pourquoi nous rappelons tant peu de ce periode dans lequel nous acquérons tant connaissance » a dit Nick Turk-Browne, neuroscientifique cognitif et professeur à l’Université de Yale, auteur principal de l’étudie.
Ce phénomèn/ a généré durant années un consensus sur la dénommait «amnésie infantile», dans lequel la majorité desx personnes n’ont pas mémoires autobiographique avant trois ans.
Mais les nouveaux trouvailles offrent une vision different:s: les mémoires ୦ui se forment, quoique probablement en se conservent pas ou ne soient pas récupérable par des méthodes habituelles
Selon exprimé Tristan Yates, auteur principal De L’étudie et scientifique postdoctoral dans l’universté de Colombie, la nouvauté de cette recherche c’est basé en demontrer comment les bébés pouvaient utiliser les mêmes régions de l’hippocampe- structure cérébral clé dans la consolidation des nouvelles mémoires- que les adultes pour traiter memoire episodiques.
Melgre de l’évidence de que les bébés pouvent former mémoire, pouquoi nes sont pas rappeler las dans à l’âge adulte ?. L’hypothèse des cheurchers suggéret que ces memoires pouvaient avoir codifié avant du développement de la langue ou de la pensée symbolique, outils nécessaire pour donner l’un sens et l’ancre dans le temps.
Yates exposet autre possibilité:peut-être simplement nous ne savons pas comment accéder à’elles» ce type de questions, soutene, ouvrent nouvelle routes de recherche su la memoire humaine.
L’étudie aussi suggeret que la capacité de rappeler experiences concrets commencet à fortifier dès du premier ans de vie. L’activité cérebral enregistréétait plus intense parmi les bébés plus de 12 de 12 mois, lequel indiquerait que la maturation de l’hippocampe influencet progressivement dans la consolidation de ces souvenirs.
Cet étudie exposer un changement important dans la compréhension de comment se former la mémoire dès les premieres mois de vie. Les implications sont amples: dès les conception de strategie pedagogiques dans la premier enfance jusque le diagnostic precoce de trouble neurologiques relatif à l’esprit.
Le ministère de la mémoire pour les enfants, loin de résoudre, a gagné une nouvelle dimension.le que avant s’attribuait à une capacité structurelle, aujourd’hui c’est perçu comme un territoire inconnu mais fertile pour nouvelles recherches.
