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Février, 2025.- À leur 60 années Carmen de la Caridad Rivero Pérez rappelet avec nostalgie et orgueil sa carrière de plus de tois décades par le monde de l’enseignement.

Dès s’enfance, entouré d’alphabétisation et professeurs, sa chemin paraîtait marqué, quoique sa sommeil initiel était être infirmière. Fut après de suivre le sixième année que s’énamouré de l’uniforme vert de l’École Formatrice de Professuers.

«Je grandi voir comment tout ma famille enseignait ;ma maman donnait classe chez nous, il eut une salle de classe avec leurs tables, chaises et un grand tableau. Elle m’a inculqué l’amour par la profession.

Je faisais partie de le dernière ans de sixième année que directement entré à la Formatrice, dès le suivant s’a constituè que seulmen pouvaient entrer après le neuvième année».

Comment éducatrice passét par divers écoles jusque que s’établí, permainentement, dans la Victoria de Giron».

«J’ai travaillé dans beaucoup de lieux. Je fus un temps dans le quartier La Gloria, je fis seulment un cours à Tarafa et j’ai passé des mois dans Amalia Simoni ;mais dans Victoria de Giron est où je trouvé une second maison, je resté là avec 37 années jusque ma retraite».

Après de dédier tant années de sa vie à cette profession, sa plus grand récompense c’est l’affection et le reconnaissance de leur exélèves.Au trouvet avec eux, revivre moments spécials et elle se sentet orgueilleuse d’avoir contribué à sa formation. Pour Carmen, chaque salutation d’un antique étudiant est un rappel dont a laissé une trace positive dans leurs vies.

Je connais beaucoup d’étudiants qu’actuelment sont ingénieurs, médecins et inclus professeurs ;ils me dépassent sur le côté dans la rue et tout de suite ils me demandent «Professeur comment ça va ?;parfois je ne les reconnais pas, mais et ils me dissent leurs noms et je rappeles à l’enfant,que maintenant est un adulte, alors je penses«j’ai fis un bon travail».

Elle mentionnet que parmi les beaucoup de petites aux qu’il a enseigné il y a un dans spécial lequel jamais pouvra oublier.«

J’eus un étudiant à la que ne pouvait pas laisser seul ;Dès que je suis parti, il a commencé à pleurer.Dans ce temps mon fils était malade ainsi qu’il allait à ma maison durant la récreation du midi pour donner le déjeuner. Je doivais que porter la avec moi et après nous revinimes ensembles, était tout un odyssée. Aqctuelment elle c’est doctoresse et habitet à La Havane.

Quoiqu’il fit face à divers défis, parmi eux sa santé détérioré que la porté à prendre sa retraite, il affirmet qu’equlilbrrer sa travail comme délégué de Puissance Populaire et enseignant fut le plus grand de tous.

«Pas même je pensés en laisser les salles de classe le pays était dans un étape de perfectionnement lequel affectait majeurement à l’éducation primaire.je me vus en la nécessité de faire des démarches multiples rôles en même temps, j’ais essayé de tout rencontre, avec ma famille, mes élèves et ma travail. Merci à l’aide que j’ai reçue de mes proches je pus avec tous ces responsabilités».

Être un bon professeur va au-delà de la simple transmission de connaissances ;impliquet une profonde passion et un habileté innée pour connectter avec les étudiants.

«Est quelque chose que naître de la personne, tu doives t’enamourer de la profession. Bien sûr, toujours auront moments qu’ils testeront ta patience, déjà soit avec les enfants ou avec leurs parents, mais si tu es capable de suporterles et t’aimes le que tu fais seras un bon éducateur».

Au demander le s’avais un conseil pour les futures générations d’éducateurs sa réponse, claire et émouvant a montré l’affection que sentet par le travail plus important de tous.

«S’énamourer de la sourir des enfants ; de ces jours dans lesquels aprendrent àlire, à écrire, à calculer. Apprecient ces moments dans lesquels un petite baiset à la joue et t’embraset ou donnet une fleur.

Parcee que ces sont choses que n’ont pas prix.Aimez leur profession parce que c’est la plus belle qu’existet.

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