Oct, 2024.- Fut durant un après-midi de février de l’année 1963 quand Hiram Rafael Pérez Perera, un des fondateurs de l’usine de fil de fer barbelé Gonzalo Esteban Lugo, de Nuevitas, il a vut par primière fois au Che. Quoique le fugace rencontre en passé pas d’une salutation dès jeep du ; grand fut son étonnement quand, un temps après, il eut l’opportunité d’interagir avec lui plus près.
Lorsque je suis entré à l’usine de fil de fer, dans la brigade de montage, je commencés à travailler dans enrôler l’atelier des électrodes et nous avions un entrepôt avec tous les materiaux; le Che c’est arrivée d’imrévu et il est entrée à l’entrepôt, là il avait quelque tonnes d’argile qu’ils avaient apporté de Manati.
À l’administrateur cette fois-là ils ont di qu’était un minéral pour faire les électrodes. Il regardét pris l’argile avec la main et l’analysét un moment; était un homme bien préparé, était medecin, mais lui savait de tout, s’est tourné vers l’administrateur et il le demandé qu-est que ce ? El il a rependut que cela était minéral très important, terre calcaire;alors le Che l’a dit regarde comme c’est stupide, garçon, cela c’est boue jaune, ils ont trompé toi.
Le juillet de 1964 le Che a visité l’industrie de nouveau avec la raison de l’inauguration de nouvelles machines pour augmenter la production.
Quand il est arrivée il est allé vers l’atelier des électrodes et lui l’est parcourri, je travailles là, je l’est suivi dans tout moment. Et est entrée dans un salon où il avait un balance, il est arrivée avec son cigare et déjà lui le avait presque brûlet les lèvres, il avait un respirateur dans le poche, de ces qu’utilisent les asthmatiques, lui c’est jeté le petite cigare et c’est porté le respirateur à la bouche automatiquement, après il s’est pesé et a demandé que combien était un kilogramme, lui m’a regardé et je le dis qu’était 2,2 livres; il a niét et mentionné qu’étaient plus comme 2,16 et commencét à rire »
Dans un occasion l’arrivée subite du Commandant perturbe la routine des travailleurs.
Hiram lequel était dans son place de travail ne s’apercevu pas de sa presence.
« Cette fois ça m’a pris par surprise. J’étais dans l’atelier manger du dulce de leche et parfois quand je le jetais petite morceau à un camarade qu’était près il s’approché discret par derrière et m’est touné, nous nous regardons par des seconds, et je en dis rien, il me mis main sur l’epaule et lui s’a riré aux éclats, après il est allée».
Quoique le pas des années a causé ravage dans leur memoire Hiram rappelet avec précision tout le relatif au Che.
«J’admirais lui beacoup» commentet avec une sourire nostalgique «J’étais très jeune quand j’a écouté de lui par primière fois, de cela que lui a fait. M’etonné sa détermination de lutter malgre s’asthme,sévère; parce que je fus très maladif durant m’enfance.
Il était quelque chose ainsi comme m’example à suivre,j’ai pensé que Oui lui pouvé lutter moi aussi pouvais; après, au commencement de la deuxième nettoyage de l’Escambray, j’m’a offri pour combattre les rebeldes. Était difficile habituer me au campement , là je me suis rendus compte de le dur que doivez être pour le Commandant habiter dans la Sierra Maestra et mon respect augmenté. Je crois fermement que né pas autre comme lui. Il n’ y a pas deux comme le Che».